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Comme vous pouvez le voir sur la photo, j’ai un problème avec ma consommation de post-it 🙈
Enfin ça, c’est quand je fais mes recherches dans des livres.
Vous pensez bien qu’Internet est aussi mon meilleur ami 😬
Là comme le post-it se révèle inutile, j’ai des dizaines de pages ouvertes sur mon navigateur. Un jour, je les ai toutes fermées par erreur… J’ai bien failli avoir une attaque avant de trouver le bouton magique « rouvrir tous les onglets » 😅
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Pour chaque roman, je fais énormément de recherches et sur des thèmes très variés.
Chicago, l’Occupation, Argelès, le déni de grossesse, Barcelone, le violon, le deuil, le don d’organe, la déportation, le métier de juge pour enfants ou de prof, et même le hockey sur glace… J’ai besoin de savoir de quoi je parle pour être la plus authentique possible, même si le sujet est peu présent.
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En ce moment, je découvre, entre autres, la guerre en Allemagne, le STO, la viticulture, le langage des fleurs…
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Au final, sur tout ce que je lis, je replace très peu de choses dans mes romans. Ça me permet surtout de retranscrire une ambiance et d’être la plus réaliste possible dans les histoires que j’imagine.
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Je ne cherche pas à apprendre des choses aux lecteurs, juste à leur offrir une intrigue crédible.
Parce que j’écris des romans, pas des documentaires 😂
Il peut donc m’arriver de prendre des libertés (rarement quand même) avec la réalité.
Surtout quand j’ai retourné l’intrigue dans tous les sens sans réussir à la faire tenir debout et qu’un truc ne colle toujours pas.
Là, je cède… Je trouve donc un compromis avec ma conscience et la perfectionniste qui sommeille en moi. Et croyez-moi, ce sont de redoutables négociatrices 😅
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